En cette période de révolte pour les éleveurs,  si nous avions une pensée reconnaissante pour ces braves boeufs qui nous donnent une si bonne viande ? Et comme un bon produit donne un bon plat…je viens de manger un bon steak (ici joyeusement présenté par Léonard) né, élevé et abattu en France, et même, en Normandie ! Circuit court, tout bien comme il faut. C’est vrai, le circuit court, ça paraît logique, alors si je peux le faire, ok, mais pour les noix de coco, ça va pas être simple ! Mon mari nous a fait un potager cette année, alors on se régale de toutes jeunes courgettes tous les jours, c’est génial, et j’attends les tomates avec impatience, mais par pitié, ne me privez pas d’artichauts poivrades qui ne veulent pas pousser ici, ni de la sauce de soja dont personne, ici, ne connaît le secret de la double fermentation. Vive le bio et le local, et vive la mondialisation, je veux continuer à découvrir de nouvelles saveurs, et à offrir mes recettes à mes lecteurs du monde entier ! Si, si, et ça fait super plaisir de voir qu’on a des visiteurs du Canada, d’Algérie, de Singapour…. Merci à vous de venir me voir, c’est trop cool !  J’espère que vous apportez un peu de notre bonne cuisine là où vous êtes, tous.  Quant à moi, et pour en revenir à notre boeuf de départ, je vous propose aujourd’hui une recette de hamburger que j’ai nommé « hamburger slowfood« , parce que, la vache ! (si je puis me permettre), ça m’a pris du temps, pour un truc simple et rapide, soit-disant ! Surtout pour tout nettoyer après…  Mais bon, qu’est-ce qu’on ne ferait pas, pour faire plaisir à nos ratons… Dernière précision, quand même, cette recette vient du globe cooker, Fred Chesneau. Merci à lui, ces hamburgers étaient quand même « vachement » bons,  même si ça manque un peu de légumes à mon goût… parce que forcément, devinez ce que je leur ai préparé avec ? Ils ont eu peur que je fasse des frites de courgettes, mais j’ai pas osé !