Mon beau-père, qui est super gentil, m’a assuré que ce gigot était le meilleur qu’il ait jamais mangé, mais comme il n’y a pas que lui qui l’ait dit… j’ai pensé qu’il devait vraiment être bon, et qu’il ne s’agissait pas là de pure politesse ou gentillesse ! Je n’en ai pas mangé, parce l’agneau fait partie des 2 choses que je ne peux pas avaler (la seconde étant le café), je ne peux pas donc vous donner mon sentiment sur le goût, mais ce gigot avec une bonne tête, il faut bien le dire !
J’ai oublié de photographier le gigot à la sortie du four ! Oups ! Vous avez donc droit à quelques tranches froides, mais, de toutes façons, vous savez à quoi ressemble un gigot qui sort du four !
– 1 gigot d’agneau (ou une épaule)
– de l’huile d’olive
– sel, poivre, romarin, ail
Frottez votre gigot (enfin, celui de l’agneau, plutôt), avec du sel, de l’ail, et badigeonnez le d’huile d’olive.
Si vous le souhaitez, vous pouvez le laisser reposer comme ça 12h au frais, sinon, 1 heure à température ambiante.
Saisissez la viande dans une grande cocotte à l’huile chaude, sous toutes ses faces. (si vous n’avez pas de casserole assez grande, faites ça sur la plaque du four, à 140°C).
Faîtes chauffer le four à 80°C (ou faites descendre la température si le four est déjà chaud), et enfournez le gigot dont la surface est maintenant dorée. Ajoutez des gousses d’ail et du romarin en branches dans la casserole, recouvrez le d’une feuille de papier alu et laissez cuire entre 3 et 4 heures, tranquillement.
S’il est cuit avant de passer à table, vous pouvez baisser la température du four à 50°C pour le maintenir au chaud.
Poivrez la viande au dernier moment, juste avant de la servir. Elle sera rosée et juteuse. Vous séduirez beau-papa, voire même belle-maman !